Jean Vidal dédie sa mémoire à son grand-père, qui n'est pas revenu de la guerre de 1914, laissant au village une famille orpheline. L'évocation de ce deuil qui enjambe un demi-siècle pour revenir à la première Guerre mondiale répondait aux discours prononcés par Paul Mourier et Henri Regord, maire de Saint-Jean du Bruel, faisant du 19 mars une journée de souvenir des deuils laissés par la guerre, journée de deuils partagés et encore si présents dans les mémoires des uns comme des autres.
Il y avait beaucoup d'émotion ce jeudi au pied du monument aux morts de Saint-Jean du Bruel. Les morts des monuments nous appellent à vivre avec le désir de partager autre chose que des deuils.
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